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Supmicrotech-ENSMM : une nouvelle marque pour l’excellence

Supmicrotech-ENSMM, la nouvelle marque alliée au nom de l’école vise à offrir à notre école plus de lisibilité dans l’environnement particulièrement concurrentiel de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation. Au-delà de la lisibilité, cette marque s’inscrit dans une dynamique renouvelée pour l’établissement.

L’ENSMM a lancé officiellement sa marque Supmicrotech, étendard de son excellence dans le domaine des microtechniques et microtechnologies. « Les microtechniques et ses métiers associés manquent parfois de visibilité en dehors du territoire régional. La nouvelle marque Supmicrotech alliée au nom de l’école vise à offrir à notre école plus de lisibilité dans l’environnement particulièrement concurrentiel de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation » explique Pascal Vairac, le directeur de l’ENSMM. Au-delà de la lisibilité, cette marque s’inscrit dans une dynamique renouvelée pour l’établissement aujourd’hui classé dans le premier tiers des écoles d’ingénieurs et qui affiche son ambition d’y figurer demain dans le premier quart. Objectif : être l’école de référence en Europe dans son domaine.

 
L’industrie au cœur de l’Ecole

Avec un taux d’insertion professionnelle de 93% qui place l’école dans les tous premiers rangs français, l’ENSMM peut se féliciter d’offrir à ses 800 élèves toujours plus de débouchés dans nombre de secteurs industriels d’excellence. En adéquation avec les besoins des entreprises, l’ENSMM a déjà conclu des partenariats d’envergure et notamment avec Alten, Axon’cable, la Marine nationale, Orano (ex Aréva), Ropsi, Schrader Pacific, Stanley Black & Decker ou encore Sonceboz-MMT.

L’école entend aujourd’hui dynamiser ses partenariats et pour ce faire, les industriels seront invités à s’impliquer davantage dans la vie de l’établissement. Ils le seront d’autant plus que dans les 3 ans à venir, en partenariat avec FEMTO-ST, l’ENSMM signera 3 chaires industrielles. Comme l’explique Pascal Vairac : « une chaire industrielle signifie pour une entreprise, mettre une de ses problématiques au cœur d’un cursus ou d’une option, et soutenir la création d’une équipe de recherche dans le même objectif ».

Côté académique, l’ENSMM, partenaire des Arts & Métiers, dispose d’une soixantaine d’accords de coopération internationale et de 16 doubles diplômes avec des universités étrangères. L’objectif dans les années à venir est de renforcer ces partenariats d’excellence avec des universités et des écoles de rang mondial grâce notamment à des cours et des cursus adaptés en anglais capables d’attirer les meilleurs élèves.

 

 

Acteur majeur de l’écosystème des microtech

Sur le volet international, Supmicrotech-Ensmm a rejoint la Communauté du savoir (CDS) de l’Arc jurassien pour renforcer ses liens avec la Suisse. Au niveau national, elle s’adosse à des réseaux d’excellence sectoriels ou thématiques comme Polyméca. En local, l’école, membre fondateur de l’Université de Bourgogne Franche-Comté (UBFC) s’inscrit pleinement dans une stratégie de site et travaille en symbiose avec le pôle de compétivité PMT, l’Institut supérieur d’ingénieurs de Franche-Comté (ISIFC) spécialisé dans le biomédical ainsi qu’avec l’ensemble des composantes de l’Université.

 

Grand Besançon Métropole, la Région Bourgogne Franche-Comté et l’État accompagnent la dynamique de développement de l’ENSMM. 900 000€ financeront la réhabilitation des actuels locaux et près de 4 M€ contribueront à la construction d’un tout nouveau bâtiment pour répondre aux ambitions de croissance de Supmicrotech-Ensmm.

L’école qui dispose de 20 M€ de budget annuel et de près de 8 M€ par an de ressources propres, entend pour sa part développer ses ressources financières en signant de nouveaux partenariats industriels et en augmentant ses formations par l’apprentissage en lien avec les besoins des entreprises. « Cette montée en puissance de l’apprentissage qui répond à une forte demande des entreprises, se fera en partenariat avec l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM) » ajoute Pascal Vairac.

La fondation Supmicrotech est également constituée et pourra permettre de travailler sur le mécénat, de mobiliser des fonds pour des projets qui aident la vie étudiante, notamment en matière de mobilité internationale.

 

Contacts et information : https://www.supmicrotech.fr/